Lésion urétérale contuse suite à un match de boxe : analyse d’un cas

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    Titre

    Lésion urétérale contuse suite à un match de boxe : analyse d’un cas

    Résumé

    Les lésions urétérales représentent une complication rare
    des traumatismes abdominaux externes, en particulier les
    traumatismes à impact élevé, et sont souvent omises en
    médecine aiguë. Le diagnostic de ces lésions nécessite
    généralement un examen radiographique et le traitement peut
    être d’emblée chirurgical ou plus conservateur, dépendant
    de la sévérité et de l’étendue du dommage causé à l’uretère.
    Dans cet article, nous exposons le cas d’un jeune patient, en
    bonne santé générale, qui a subi un traumatisme urétéral
    contus unilatéral et isolé dans des circonstances singulières,
    et nous le comparons à d’autres cas similaires de la littérature
    actuelle. Ce cas clinique souligne l’importance de rechercher
    ce genre de complications chez des patients présentant un
    index de suspicion clinique élevé.

    Title

    Blunt ureteral injury after a boxing match : a case-report

    Abstract

    Ureteral injuries are a rare complication of abdominal
    external trauma, particularly high-impact trauma, that
    is often missed in the acute setting. They usually require
    radiographic imaging for diagnosis and can be managed
    either conservatively or with surgical repair depending on
    the extent and severity of the damage. In this report, we
    present the case of a young healthy patient who sustained
    a unilateral, isolated blunt ureteral injury in uncommon
    circumstances, and compare it to similar cases from the
    current literature. This case underlines the importance of
    looking for such complications in patients with a high index
    of clinical suspicion.

    Chapitre
    CAS CLINIQUES
    Type d'article
    Cas clinique
    DOI
    10.30637/2025.24-037
    Mots clés
    ureteral
    blunt
    trauma
    management
    Année
    2025
    Auteur(s)
    ABRAMOWICZ L., PLUMACKER A., HOMBERT L. et LEGRAND F.
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